SoftExpert ERM – Logiciels de gestion des risques

La gestion des risques est un sujet de plus en plus important pour les entreprises et les entreprises se montrent de plus en plus préoccupées par leurs risques. Les risques sont importants pour les décisions stratégiques, ils sont la principale cause d’incertitude dans les organisations et sont présents dans les activités les plus simples d’une entreprise.

Une approche globale de la gestion des risques permet à une organisation de prendre en compte l’impact potentiel de tous les types de risques sur l’ensemble de ses processus, activités, produits et services.

La gestion des risques est devenue une partie essentielle de la gestion des entreprises. La mise en œuvre d’un logiciel de gestion des risques vous permet d’avoir une vue d’ensemble des risques auxquels votre entreprise est confrontée et d’identifier les actions à prendre pour les gérer.

Les logiciels de gestion des risques doivent répondre à des besoins spécifiques tels que le suivi des risques, la surveillance des indicateurs clés et la mise en œuvre de plans d’action correctifs.

Les logiciels de gestion des risques peuvent être classés selon leur fonctionnalité : logiciels de gestion des risques financiers, logiciels de gestion des risques opérationnels, logiciels de gestion des risques informatiques et logiciels de gestion des risques juridiques.

Découvrez comment un logiciel de gestion des risques peut vous aider à gérer efficacement vos risques.

Logiciels De Gestion Des Risques D’entreprise – Erm :
Logiciel Gestion des risques d’entreprise – ERM

Définition du risque

Selon le COSO, la GRE peut être définie comme suit :

La gestion des risques d’entreprise est un processus conduit dans une organisation par le conseil d’administration et d’autres employés, utilisé pour établir des stratégies, créé pour identifier les événements potentiels susceptibles d’affecter la rentabilité de l’organisation. Il est important d’identifier les risques de l’entreprise et de les maintenir sous contrôle afin qu’ils portent atteinte le moins
possible à la réalisation des objectifs.

Une initiative réussie de gestion des risques d’entreprise peut influer sur la probabilité et l’impact des risques potentiels, ainsi que sur des avantages liés à des décisions stratégiques mieux éclairées, à des processus de changement réussis et à une efficacité opérationnelle accrue. Les autres avantages incluent la réduction du coût du capital, des rapports financiers plus précis, un avantage concurrentiel, une meilleure perception de l’organisation, une meilleure présence sur le marché et, dans le cas des
organisations de services publics, un soutien politique et communautaire accru.

Quels outils peuvent être utilisés pour gérer les risques et opportunités ?

Les outils de gestion des risques sont une nécessité pour les grandes et petites organisations. Non seulement ils aident à identifier les risques existants, mais ils permettent également aux entreprises de réduire leurs risques potentiels et d’appliquer des mesures visant à minimiser ou à éliminer les effets dévastateurs que ces risques peuvent avoir sur l’entreprise. Les outils de gestion des risques offrent donc aux organisations une meilleure capacité à prendre des mesures précises et efficaces afin de gérer leurs activités en toute sécurité et ainsi maximiser leur efficacité opérationnelle.

Il existe de nombreux outils qui peuvent être utilisés pour gérer les risques et les opportunités. Les principaux outils et logiciels incluent l’analyse du cycle de vie, la matrice cause-effet, le diagramme d’Ishikawa, l’analyse des forces motrices et les cartes heuristiques. Ces outils peuvent aider à identifier, évaluer et gérer les risques auxquels une organisation est exposée.

Qu’il s’agisse d’intégrer le management des risques au processus de management de projet ou qu’il s’agisse d’allouer des ressources au management des risques, les formules sont belles, mais l’intuition ne permet pas de les mettre en pratique aisément.

Et l’acteur confronté à l’identification, puis à l’analyse et à l’évaluation des risques, doit se demander comment remplir ces tâches. Notamment toute mise en œuvre pratique des étapes d’analyse, d’évaluation des risques et de choix entre les actions de traitement à entreprendre implique nécessairement l’usage d’un système de mesure (une métrique).

Les dix règles évoquées ci-après aident à déterminer quels outils, quelle métrique (ou système de mesure) et quelles méthodes conviennent à un projet donné, étant entendu que les outils peuvent être puisés dans l’ensemble qui figure dans l’annexe A de la norme ISO 31010 « Gestion des risques – techniques d’évaluation des risques ».

Ces dix règles ressortent de l’analyse de la norme ISO 31000. Elles sont formulées pour apprécier les techniques énumérées par la norme ISO 31010 et permettre de les trier au regard des principes d’ISO 31000.

On s’attache ensuite à présenter les quatre niveaux de métriques utilisables avant de conclure.

Analyse de la norme ISO 31000

Cette analyse a permis de définir dix règles auxquelles doivent répondre les techniques applicables au management des risques dans les projets complexes de génie civil et urbain.

Elles illustrent le progrès substantiel dans la réflexion que représente la norme ISO 31000 par rapport aux pratiques traditionnellement acceptées en matière de « maîtrise des risques ».

Règle 1 – Être proactif

Le management des risques doit anticiper les conséquences des événements risqués et leurs probabilités de survenir. On ne peut donc pas s’appuyer sur la seule analyse du passé.

Règle 2 – Traiter le risque à travers tout le projet

On ne doit pas chercher à traiter chaque risque indépendamment des autres. Cette conception « systémique » est encore très largement ignorée des pratiques actuelles.

Règle 3 – Penser les opportunités autant que les menaces

On ne peut donc pas se satisfaire de la notion d’« événement redouté », insuffi sante. Tout risque est, en ce sens, un « écart, positif ou négatif, par rapport à une attente » concernant l’un ou l’autre des objectifs retenus pour le projet (p. 1 de la norme ISO 31000). Cet écart peut ou non être probabilisé.

L’identifi cation des risques doit aboutir – autant que possible – à une « liste exhaustive des risques fondée sur les événements susceptibles de provoquer, de stimuler, d’empêcher, de gêner, d’accélérer ou de retarder l’atteinte des objectifs » du projet (ou de l’organisme), « que leur source soit ou non sous le
contrôle de l’organisme (ou de l’équipe-projet) » (p. 17, § 5.4.2. de la norme ISO 31000).

Règle 4 – Optimiser la prise de risque

Quel sens donner, en effet, à une « diminution » de l’ensemble des écarts par rapport aux performances attendues du projet ? Dès lors, on doit rechercher un compromis pesant les objectifs visés en regard des risques pris. Le problème de base du traitement des risques résidera dans la façon de « peser »
risques et objectifs.

Règle 5 – Évaluer les risques ne donne pas le même résultat pour chacun des acteurs

Il faut distinguer politique de management des risques et attitude face au risque. La seconde exprime l’approche spécifique à chaque équipe projet pour apprécier un risque ; la première est l’ensemble des orientations générales concernant les conduites à tenir et les procédures à respecter au sujet des risques.

La norme distingue à cet égard niveau d’un risque et évaluation de ce risque. Le premier résulte d’une combinaison (en général multiplicative) de la vraisemblance de la source de risque et de l’intensité des conséquences pour un risque donné. La seconde consiste à rapprocher le niveau de risque des « critères de risque, fondés sur les objectifs » du projet, afin de déterminer si « ce niveau est acceptable ou tolérable ».

La norme ISO 31000 demande donc de ne faire ni trop ni trop peu, en matière de prévention, le « trop » ou « trop peu » se mesurant par rapport à la prise de risque spécifiquement visée par les responsables du projet. L’acceptabilité d’un ensemble de risques n’est jamais indépendante de l’acteur qui en est responsable.

Règle 6 – Tenir compte des parties prenantes dans la gouvernance du projet, notamment du point de vue des risques

La norme insiste sur la détermination claire de responsabilités. Les parties prenantes peuvent être aussi bien internes qu’externes. Elles recouvrent toutes les personnes ou entités « susceptibles de se sentir affectées par ou d’affecter » les résultats du projet.

Règle 7 – Atteindre l’efficience opérationnelle

Il est nécessaire pour l’équipe projet d’obtenir le meilleur score de réussite du projet découlant de la prise de risque que la politique autorise pour une mobilisation de ressources donnée. Le management des risques doit à cet égard être « intégré au processus de prise de décision ».

Il vise à « proposer des choix argumentés, à définir des priorités d’actions et à choisir entre différents plans d’action ». On doit donc disposer d’une formalisation claire de la décision et d’un modèle du système de décision pour pouvoir juger du respect ou non de la règle 7.

Règle 8 – Intégrer les facteurs humains et culturels dans le management des risques

Ceci repose sur l’identification des « perceptions et des intentions des personnes externes ou internes susceptibles de faciliter ou de gêner l’atteinte des objectifs de l’organisme ». Par conséquent, l’analyse des risques ne saurait être indépendante des acteurs concernés.

Règle 9 – Assurer une communication efficace

Celle-ci doit intervenir « entre parties prenantes et personnes responsables de la mise en œuvre du processus de management du risque », de sorte qu’elles se comprennent bien, sans ambiguïté, et que « les raisons pour lesquelles certaines actions sont nécessaires » soient comprises.

Règle 10 – Communiquer en interne sur les objectifs et les méthodes d’appréciation

Il faut que « le management du risque se fasse dans le contexte des objectifs » du projet et que soient bien définies les méthodes « d’appréciation du risque », notamment « la méthode selon laquelle les performances et l’efficacité du management du risque sont évaluées », ainsi que « la méthode de définition de la vraisemblance, la méthode de la détermination du niveau de risque ».

On trouve donc dans la norme ISO 31000 des indications relativement précises sur les propriétés dont doit faire preuve un management des risques de qualité.

Brainstorming

Le « brainstorming » est un processus utilisé pour stimuler et encourager un groupe de personnes à développer des idées relatives à un ou plusieurs sujets de quelque nature que ce soit.

Le terme « brainstorming » est souvent utilisé très librement pour signifier tout type de discussion en groupe, mais un « brainstorming » efficace exige un effort délibéré afin que les pensées des autres personnes du groupe soient utilisées pour stimuler la créativité de chaque participant. Toute analyse ou critique des idées est formulée en dehors du « brainstorming ». Cette technique donne des résultats optimaux en présence d’un animateur expert pouvant stimuler les participants sans brider la pensée.

L’animateur encourage le groupe à traiter de tous les domaines concernés et s’assure que les idées issues de ce processus sont conservées afin d’être analysées par la suite.

Matrice SWOT

Le SWOT de Matrice est un outil d’évaluation et de planification utilisé dans le monde des entreprises, qui signifie « forces, faiblesses, opportunités et menaces ». En évaluant les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces de votre organisation, vous êtes en mesure d’identifier les mesures à prendre pour faire avancer les projets ou les initiatives.

Le SWOT de Matrice est basé sur une structure en forme de grille, où chaque ligne est marquée ou étiquetée par l’un des quatre éléments. Cela permet de garder l’analyse organisée et facile à comprendre lorsque vous préparez des rapports ou des présentations.

Technique Delphi

La technique Delphi permet de créer un consensus sur les opinions d’un groupe d’experts. Cette méthode vise à collecter et rassembler des avis sur un sujet donné en s’appuyant sur une série de questionnaires séquentiels.

L’une des fonctions essentielles de la technique Delphi consiste à permettre à des experts d’exprimer leur avis de manière individuelle, indépendante et anonyme, tout en ayant accès aux avis de leurs homologues au fur et à mesure de l’avancement du processus.

Technique des groupes nominaux

Comme le « brainstorming », la technique des groupes nominaux a pour objectif de collecter des idées. Les points de vue sont recueillis individuellement, sans interaction entre les membres du groupe, puis ils font l’objet d’une discussion au niveau du groupe.

Le processus est le suivant :

L’animateur soumet à chaque membre du groupe les questions auxquelles ce dernier devra répondre. Chaque participant écrit sa réponse seul et en silence. Chaque membre du groupe présente alors ses idées, mais la discussion n’est pas engagée à ce stade.

Si la dynamique du groupe est telle que certaines voix ont plus de poids que d’autres, certaines idées peuvent être communiquées à l’animateur de manière anonyme. Les participants peuvent alors demander à obtenir des informations complémentaires. Les idées font alors l’objet d’une discussion au sein du groupe, qui en établit la liste d’un commun accord. Les membres du groupe votent secrètement pour une idée ou une autre et une décision de groupe est prise en fonction de ces votes.

Entretiens structurés ou semi-structurés

Lors d’un entretien structuré, un ensemble de questions préparées est posé aux personnes interrogées. L’entretien semi-structuré est similaire, mais offre plus de liberté à la conversation pour explorer les questions soulevées. Il permet, en outre, d’explorer les domaines que la personne interrogée pourrait souhaiter traiter.

Dans la mesure du possible, il convient que les questions soient ouvertes, simples et exprimées dans la langue de la personne interrogée, et qu’elles ne traitent que d’un seul point. Des questions complémentaires possibles pour obtenir des éclaircissements sont également préparées.

Afin de vérifier que les questions ne sont pas ambiguës, qu’elles seront correctement comprises et que les réponses seront en rapport avec les sujets abordés, il convient de poser ces questions au préalable à des personnes ayant un profil similaire à celui des personnes interrogées. Il convient de veiller à ne pas influencer la personne interrogée.

Enquêtes

De manière générale, les enquêtes permettent d’impliquer davantage de personnes et de poser des questions plus précises que les entretiens. Le plus souvent, une enquête prendra la forme d’un questionnaire papier ou électronique. Les réponses aux questions sont généralement de type oui/non, ou prennent la forme de différents choix possibles dans une échelle de classement ou une série d’options.

Une analyse statistique des résultats, qui est une caractéristique de ces méthodes, est ainsi possible. Une enquête peut comporter des questions appelant une réponse libre, mais il convient d’en limiter le nombre en raison des difficultés d’analyse.

Comment faire un plan de gestion des risques ?

Un plan de gestion des risques peut s’avérer très important pour les entreprises. Il est essentiel d’identifier et d’analyser les risques auxquels une entreprise est exposée, de historiser leurs fréquences et impacts. Ensuite, il convient de planifier des mesures pour mitiger ces risques afin que l’entreprise puisse fonctionner en toute sécurité.

Pour élaborer un tel plan, il existe des logiciels spécialement conçus pour les aider à déterminer rapidement quels risques doivent être pris en compte et comment aborder la gestion des risques.

Logiciels de gestion des risques : Enterprise Risk Management softExpert

Les logiciels de gestion des risques peuvent être utilisés pour gérer les risques et opportunités en surveillant les risques à mesure qu’ils se présentent et en proposant des solutions appropriées. Ces solutions peuvent inclure l’analyse quantitative, la modélisation dynamique et le stockage d’informations sur les risques associés aux activités. De plus, ils facilitent l’examen des documents financiers liés aux contrats, aux opérations ainsi qu’à la politique de réduction des risques.

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Le principe inhérent à la gestion des risques d’entreprise (ERM – Enterprise Risk Management) est que chaque organisation existe pour générer de la valeur pour les parties prenantes. Toutes les organisations sont confrontées à des incertitudes et le défi de leurs dirigeants consiste à déterminer dans quelle mesure ils acceptent cette incertitude et à définir comment elle peut entraver les efforts visant à générer de la valeur pour les parties prenantes.

Les incertitudes présentent des risques et des opportunités susceptibles de détruire ou d’ajouter de la valeur. La gestion des risques d’entreprise permet aux dirigeants de gérer efficacement les incertitudes, les risques et les opportunités qui leurs sont associés afin d’améliorer leurs capacité à générer de la valeur.

Quelles sont les stratégies de gestion des risques industriels?

Il existe plusieurs stratégies de gestion des risques qui peuvent être mises en oeuvre pour aider les organisations à réduire leur exposition aux risques.

Parmi ces stratégies, on peut citer l’identification et la mesure des risques, le monitoring planifié et régulier des activités qui peuvent générer des risques, la limitation de l’exposition aux risques grâce à l’utilisation de procédures, d’outils et/ou technologies adéquates et la mise en place d’un plan adapté pour gérer efficacement une situation présentant un niveau élevé de risque. ERM – ERP Enterprise Risk Management softExpert est l’outil efficace pour appliquer cette stratégie.

SoftExpert ERM

Gestion des Risques d’Entreprise

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Quelles sont les étapes de la démarche gestion des risques ?

Un processus de gestion des  risques peut comporter plusieurs étapes et activités. Cependant, le cycle de vie complet de la gestion des risques peut être résumé en cinq d’entre elles, qui constituent la base des réglementations clés en matière de gestion des risques, y compris COSO et ISO 31000.

  • Identification : 
    • Le point de départ est d’identifier les risques et les definir avec quelque details dans un format bien structuré.
  • Évaluation :
    • Les risques sont évalués sur la probabilité et l’impact de leur apparition.
  • Traitement :
    • Un processus d’examen continu est essentiel pour la gestion proactive des risques, la réévaluation des risques et le suivi de l’état des traitements et des contrôles mis en place.
  • Suivi :
    • Un processus d’examen continu est essentiel pour la gestion proactive des risques, la réévaluation des risques et le suivi de l’état des traitements et des contrôles mis en place.
  • Communication :
    • La communication à chacune de ces quatre étapes est un élément fondamental d’un processus décisionnel efficace en matière de gestion des risques.

Identification des risques

Définir les objectifs d’entreprise et opérationnels. Il est très important d’être clair sur les objectifs avant de commencer à identifier les risques. Cela vous permettra d’identifier les événements qui influent sur votre capacité à atteindre vos objectifs.

Énumérez tous les risques pertinents : Généralement, le meilleur processus pour dresser une longue liste de risques potentiels est une combinaison de séances de brainstorming et d’entretiens individuels. Vous devez rechercher tous les types de risques, notamment financiers, de gestion, de réputation, d’économie, d’environnement, de technologie et de fraude, et ce dans tous les domaines.

Identifier les facteurs de risque : Vous devez essayer d’identifier les causes probables des risques – ce qui peut avoir fait apparaître le risque dès la première fois. Il peut n’y avoir qu’une seule cause de risque, tout comme il peut y en avoir beaucoup.

Spécifiez les mesures de contrôle existantes : Pour de nombreux risques, vous aurez déjà quelques mesures en place pour contrôler la probabilité ou l’impact de votre occurrence. Pour être efficaces, ces contrôles internes doivent pouvoir être démontrés au moyen de politiques, procédures ou pratiques. Une question clé est de savoir si les contrôles existants sont adéquats ou si des contrôles supplémentaires sont nécessaires pour une gestion efficace de chaque risque.

Définir les responsables : Pour une gestion des risques efficace, il est important que chaque risque soit tenu pour responsable en veillant à ce que les contrôles internes sont en place et que les mesures de traitement appropriées sont prises. Cette fonction implique également de surveiller régulièrement la situation de risque et d’ajuster son évaluation en fonction des informations les plus récentes.

Évaluation des risques

Pour obtenir le résultat de l’évaluation des risques, vous devez d’abord analyser la probabilité que le risque se manifeste, en tenant compte des contrôles existants et actifs. Cette tâche peut ne pas être facile et les critères varient en fonction des types de risques.

Ensuite vous devrez évaluer l’impact des risques, il est généralement défini en fonction du degré de gravité de cet impact. Définir des règles pour évaluer les impacts est plus complexe que d’évaluer la probabilité, car dans de nombreux cas, cette évaluation n’est que qualitative.

Puis vous obtiendrez le résultat final de l’évaluation qui résulte de la combinaison des évaluations de probabilité et d’impact, généralement en multipliant leurs coefficients, ce qui génère la « matrice d’évaluation des risques ». Il est courant de diviser la matrice en couleurs pour fournir une approche plus visuelle de la situation de risque, en plus de son résultat quantitatif.

Prioriser le risque et définir son appétit pour le risque. Il n’est pas possible de supprimer tous les risques, il faudra donc en traiter certains. Cependant, il est important de définir la tolérance de l’organisation aux risques, puis de définir une priorité pour chaque risque en fonction de cette tolérance. Définir une priorité vous donne des informations sur les risques secondaires en plus de votre situation, vous permettant ainsi d’identifier rapidement les risques les plus importants ou les plus urgents.

Tratement des risques

Définir le type de réponse au risque. Vous pouvez donner quatre types de réponses génériques aux risques: tolérer, déplacer, traiter et éliminer. Les avantages et les inconvénients pratiques de chaque approche dépendront dans une large mesure de la nature du risque, et en particulier du niveau de priorité qui lui est attribué. Pour tous les risques, à l’exception de ceux que vous « tolérez », il est nécessaire de définir un plan d’action d’atténuation afin de prévenir, réduire ou déplacer les risques.

Créez des actions d’atténuation pour les risques prioritaires. Vous devez créer un plan d’action d’atténuation pour tous les risques que vous souhaitez traiter. Le but des mesures d’atténuation n’est pas nécessairement d’éliminer complètement le risque, mais de le réduire à un niveau acceptable. Vous devez également prendre en compte le rapport coûts / avantages lorsque vous décidez de traiter un risque.

Suivi des risques

L’objectif principal en matière de surveillance des risques est de s’assurer que les risques de l’organisation sont gérés efficacement. L’évaluation des risques doit être revue régulièrement par ses responsables et cette mise à jour doit être basée sur :

  1. • Les actions de traitement et autres actions en cours pouvant influer sur le profil de risque.
  2. • L’identification de nouveaux risques et facteurs survenus depuis la dernière évaluation.

Pour vous aider lors des réunions d’examen périodique, vous pouvez utiliser de nombreuses informations supplémentaires pour réévaluer vos risques. Par exemple, l’historique des incidents vous donnera une indication de l’efficacité des traitements et des contrôles internes.

Communication sur les risques

Consolidez les informations et vérifiez l’évolution des risques. La communication dans un processus de gestion des risques s’applique à toutes les étapes du cycle de vie des risques, même si on peut dire qu’elle est plus critique à l’étape de la surveillance. La manière de communiquer le résultat des risques est une chose qui doit être planifiée et définie au début du processus de gestion, en pensant déjà au contenu, au format et à la fréquence de la divulgation.

Le profil des risques, les risques critiques, l’avancement des plans d’atténuation, la situation des risques, les tendances et les cartes de chaleur font partie des types de rapports ou de tableaux de bord que vous voudrez avoir à chaque étape du processus de gestion des risques.

Maintenant que vous connaissez les cinq principales étapes d’un processus efficace de gestion des risques, familiarisez-vous également avec SoftExpert ERM, la solution la plus complète et la plus innovante du secteur en matière d’excellence dans la gestion des risques d’entreprise.

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Qu’est-ce qu’un logiciel de gestion des risques ?

Un logiciel de gestion des risques est un outil qui aide les organisations à identifier les risques associés à leurs actifs, ressources et informations. Le système de gestion des risques mesure et surveille les risques et vous en informe ou vous alerte.  Il permet d’identifier et d’éviter ces risques avant qu’ils ne nuisent à l’organisation et de garantir le bon fonctionnement de tous ses processus. 

Dans le contexte des objectifs et des buts de l’entreprise, une application de gestion des risques peut remplir un ensemble de fonctions comme – Pour mener à bien ces activités, un logiciel de gestion des risques suit un processus systématique comme indiqué ci-dessous – La fonctionnalité et le processus de l’application de gestion des risques en disent long sur la manière dont elle aide les entreprises à fonctionner de manière fluide et sûre. L’identification et la surveillance des risques critiques pour votre entreprise vous aideront à surmonter tout revers ou problème potentiel. 

Selon une enquête récente, les experts en gestion des risques de 102 pays ont cité les risques majeurs suivants pour les entreprises mondiales en 2020.

02 Pays Ont Cité Les Risques Majeurs Suivants Pour Les Entreprises Mondiales En 2020. Source : Goodfirms
Source : goodfirms

Avec autant de risques qui peuvent avoir un impact négatif sur votre entreprise, il devient très important de déployer le meilleur logiciel de gestion des risques. Les avantages mentionnés ci-dessous justifient clairement ce fait.

Logiciel gestion des risques open source – gratuit

Open Source Risk Engine (ORE) est un logiciel de gestion du risque gratuit et open source basé sur QuantLib et fourni sous la licence BSD modifiée. Vous pouvez facilement personnaliser le code et l’utiliser comme un logiciel autonome ou l’intégrer à un logiciel sous licence commerciale. Il s’agit d’une solution de gestion des risques polyvalente qui comprend des fonctionnalités avancées vous permettant de gérer efficacement les risques et de sauver votre entreprise des désastres financiers.

En tant que logiciel de gestion des risques open source, il est absolument gratuit à télécharger, mais vous devrez peut-être payer votre équipe technique pour le personnaliser et le déployer afin qu’il fonctionne selon votre logique commerciale.

La solution professionnels – SoftExpert ERM outil de gestion et cartographie des risques Entreprise

SoftExpert ERM est un logiciel de gestion des risques qui peut fonctionner sur différents systèmes d’exploitation, tels que Windows, Mac OS, Linux et Android. Il aide les organisations à identifier, analyser, surveiller et gérer leurs risques. La solution rassemble toutes les données relatives à la gestion des risques dans un seul environnement et fournit une bibliothèque réutilisable de risques ainsi que leurs contrôles liés et évaluations.

L’application comprend la gestion des risques stratégiques, financiers, de sécurité, de conformité réglementaire, environnementaux, d’actifs, de produits, de processus et de projets.

SoftExpert ERM peut s’adapter à différents standards comme ISO 31000, COSO et PMBOX tout en respectant aux exigences spécifiques d’une entreprise. Les résultats peuvent être visualisés sous forme de cartes thermiques pour faciliter l’identification des priorités et la prise de décision par les gestionnaires.

SoftExpert ERM offre des solutions pour réduire et maintenir les risques à un niveau acceptable. Un système de gestion des projets, supporté par des ressources supplémentaires, est à disposition pour sélectionner, implanter et surveiller les mesures à prendre face aux risques.

En outre, SoftExpert fournit un support pour bien entreprendre le traitement des risques via des plans d’action simples. La solution intègre également les fonctions GRC (Governance, Risk and Compliance) ainsi que le logiciel SoftExpert GRC qui vise principalement la conformité réglementaire et légale, l’audit interne et la planification stratégique.

Tout ceci assure aux entreprises une solution complète de gestion des risques à bon prix. La flexibilité du design et de l’architecture offert par toutes les solutions SoftExpert permettent aux organisations de piloter facilement leurs projets tout en s’adressant aux critères métiers complexes sur une seule plateforme.

Principaux avantages

Softexpert propose un programme de gestion des risques qui permet aux organisations d’accélérer leur processus et de s’assurer qu’elles prennent la bonne approche lorsqu’elles évaluent et gèrent les risques. Parmi les principaux avantages du produit figurent :

  • une centralisation et une accélération du programme de gestion de risque ;
  • la concentration sur les plus grands risques, l’amélioration des performances en attribuant correctement les ressources pour contenir les risques ;
  • la cohérence des rapports et des analyses sur le même langage; le partage des informations à travers toutes les activités opérationnelles ; différentes méthodes pour évaluer les risques ou calculer les résidus restants avec des formules réglables; la création d’un plan de test compatible avec l’efficacité opérationnelle ; un suivi efficace du programme à travers un enregistrement pratique et une surveillance rigoureuse des problèmes soulevés par l’évaluation et le test du contrôle ;
  • la capacité à conduire clairement certaines tâches de prévention et d’atténuation des risques; diverse possibilités comme cartographie thermique, rapport, tableau, graphique permettant une analyse en temps réel.

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